Pub big
CATEGORIE · SOUS-CATÉGORIE

Qui sont les présidents de Ligue Grand Est ?

Ce samedi 9 novembre, de nombreuses élections de présidents de Ligue dans le Grand Est ont eu lieu. Qui a été réélu ? Qui a été élu ou battu ? Sport et Business Grand Est by La Semaine fait le point.

Publié le 12/11/2024 à 14h56
Clock Lecture 3 min
Image principale article
©Cédric
Ce samedi 9 novembre, de nombreuses élections de présidents de Ligue dans le Grand Est ont eu lieu. Qui a été réélu ? Qui a été élu ou battu ? Sport et Business Grand Est by La Semaine fait le point.
Publié le 12/11/2024 à 14h56
Clock Lecture 1 min

Il n’y avait pas que la finale du Moselle Open, remportée par le Nîmois Benjamin Bonzi, ou la victoire du FC Metz face au Stade Malherbe de Caen du propriétaire Kylian Mbappé (1-0) samedi 9 novembre. C’était également jour d’élections dans le Grand Est. Sans surprise, Lionel Ollinger, vice-président à la Fédération Française de Tennis (FFT), a été réélu pour un troisième et dernier mandat à la tête de la Ligue Grand Est de tennis. Malgré la farouche volonté de sécession des Alsaciens, il a été plébiscité lors de l’assemblée générale élective dans l’amphithéâtre du domaine de l’Asnée à Villers-lès-Nancy (Meurthe-et-Moselle), avec 93,14 % des votes. « C’est tout simplement une question politique », a-t-il admis dans les colonnes du Républicain Lorrain avant de poursuivre. « En raison de mes engagements au niveau national et international, j’ai longtemps hésité à me représenter. Mais pendant l’été, ce sont les présidents des CD67 et 68 qui m’ont convaincu de repartir avant de m’annoncer quelques jours plus tard qu’ils refusaient d’intégrer ma liste. On avait pourtant prévu une dizaine de places pour les représentants alsaciens ».

Autre réélection attendue, celle de Christophe Porte. L’homme fort du tennis de table dans le Grand Est, originaire de Maizières-lès-Metz, a logiquement été reconduit pour un mandat de quatre ans, lors de l’assemblée générale à la Maison des Sports de Tomblaine (Meurthe-et-Moselle). Il peut se targuer d’un bilan positif dans tous les secteurs (formation, financier et sportif) et compte rajeunir son équipe lors de la prochaine olympiade.

Sylvain Kastendeuch battu d’une courte tête

De nombreux regards étaient aussi et surtout tournés ce jour-là sur l’amphithéâtre du domaine de l’Asnée à Villers-lès-Nancy. Pas pour suivre la réélection, donc de Lionel Ollinger, mais pour connaître le successeur d’Albert Gemmrich à la tête de la Ligue Grand Est de football. Deux hommes étaient sur la ligne de départ : Sylvain Kastendeuch, l’ex-capitaine emblématique du FC Metz et Yann Leroy, l’ancien président du district de Meurthe-et-Moselle. Le match entre les deux hommes s’est joué dans le temps additionnel et sur des détails. Le second s’est finalement imposé d’une courte tête, avec 50,64 % des voix contre 49,36 %. Malgré une campagne intensive ces dernières semaines, l’ancien coprésident de l’UNFP paie sans doute une entrée tardive et la crainte d’une candidature trop mosellane pour certains dirigeants alsaciens. « Il y a de la déception bien sûr car ça se joue à très peu de voix et je commençais à sentir un bel élan. Une petite majorité du football amateur ne voulait pas de ma candidature. Je l’accepte et je souhaite un bel avenir à cette Ligue du Grand Est », a-t-il déclaré, avec beaucoup de fair-play.

Arnaud Demmerlé

Partager
Sur le même thème
Pub big