Avant de racheter le Paris FC, la famille Arnault aurait manifesté son intérêt pour le Stade de Reims. Jean-Pierre Caillot, le président champenois, a tenu à clarifier les choses.
C’est une annonce qui a eu l’effet d’une bombe, il y a quelques semaines sur la chaîne L’Équipe. Avant de porter son dévolu sur le Paris FC, l’actuel leader de Ligue 2, en partenariat avec Red Bull (15 % des parts), la famille Arnault (55 % des parts) aurait sondé trois autres clubs : les Girondins de Bordeaux au plus mal financièrement, mais surtout le Stade de Reims et Lille. La réponse de Jean-Pierre Cailllot, le président champenois, a mis du temps à venir, mais elle est aussi cinglante et clinique qu’une frappe de sa star japonaise Junya Ito. « Il n’y a jamais eu d’approche formelle de Bernard Arnault ou d’autres investisseurs pour un éventuel rachat du club. Ces spéculations relèvent du fantasme. Pour clarifier les choses et éviter toute confusion, le Stade de Reims n’est pas à vendre et nous restons concentrés sur le développement de notre projet», a expliqué dans les colonnes de l’Union l’homme fort du Stade de Reims qui en est aussi le propriétaire.
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